jeudi 13 juillet 2017

ACCESS FACILE AUX PALAIS PRESIDENTIELS AFRICAINS ET DES MEDIAS PUBLICS DES ENTREPRISES ET INVESTISSEURS OCCIDENTAUX.

ACCESS FACILE AUX PALAIS PRESIDENTIELS AFRICAINS ET DES MEDIAS PUBLICS DES ENTREPRISES ET INVESTISSEURS OCCIDENTAUX.

LES PORTES DES PALAIS ET MEDIAS D'ETAT AFRICAINS SONT OUVERTES A N'IMPORTE QUI POURVU QU'IL VIENNE DE L'OCCIDENT.

En effet, la recèption des grandes entreprises, des multinationales étrangères et des hommes d'affaires occidentaux par des gouvernements des pays africains et les diffusions dans les journaux télévisés de ces rencontres (entreprises occidentales-Présidences africaines) sur les chaînes de télévision publiques africaines, subventionnées par le contribuable africain créent non seulement les conditions de la concurrence déloyale envers les entreprises nationales, qui ne possèdent pas le même niveau d'accès aux présidences aux médias de leur propre pays, mais aussi mettent en lumière le degré de complexe de certains de nos gouvernants.

Ce complexe melangé á une démagogie voilée a tendence á faire croire á l'opinion nationale que les pays se portent bien, parce que les investisseurs étrangers y arrivent á longueur de journée.
Cette publicité gratuite et indirectement subventionnées de ces entreprises étrangères doit s'arrêter en faveur de la promotion des entreprises locales et nationales.
Cette pratique malsaine donne un avantage concurrentiel donc compétitif aux entreprises étrangères.

Par contre, les représentants et les patrons des entreprises africaines ne sont pas reçus par exemple par le président de la France et pourtant les chefs d'entreprises françaises vont à la présidence et á la primature des pays africains quand ils le souhaitent. Les portes complexées de nos hautes Institutions sont grandement ouvertes aux étrangers et "sauvagement" fermées aux nationaux.

Il faudra donc intégrer la réciprocité dans le processus ou donner le même niveau d'accès aux entreprises nationales y compris par exemple la vendeuse d'alloco d'Abobo (quartier populaire d'Abidjan- Côte d'Ivoire) qui se bat pour s'occuper de sa famille. Le Chef de l'Etat doit aussi pouvoir recevoir au palais présidentiel en audience par exemples, des entreprises nationales ( petites et grandes), toutes ces braves femmes entrepreneurs du marché gouro et du forum d'adjamé, des jeunes patrons des entreprises et de commerce du black market d'adjamé, de treichville, de Bouaké, de Daloa, de Man, ect... Ces audiences pourraient donc être couvert et diffusé par les médias publics.

Le complexe vis-á-vis des entrepreneurs et des multinationales etrangères doit absolument prendre fin, surtout au niveau de nos Institutions.
Pour le développement de nos Etat africains, il est necessaire voire impératif que les gouvernants accordent plus d'interet aux entreprises, aux produits et aux intelligences nationales.

Merci infiniment au grand frère Thomas Brandon pour ses analyses politico économiques depuis les USA.

Que Dieu facilite la compréhension!
Je vous remercie
Seydinan Chérif Ahmed
Activiste Culturel

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